NEWS du Monde Informatic et toc ...Entre autre ...
Et oui, depuis le temps que nous vous disons de vous inscrire à leur newsletter ... Pour ceux qui ne nous ont pas écouté :
http://www.zataz.com/news/10284/.html
http://www.zataz.com/news/10288/.html
http://www.zataz.com/news/10296/.html
http://www.zataz.com/news/10299/.html ... Celle-ci est ...hummm ...Vraiment à lire
http://www.zataz.com/news/10300/.html ... Surprenante ...
http://www.zataz.com/news/10255/.html ...Rigolo ...
A propos des droits d'auteurs ... Ce qu'il faut savoir ...
http://www.zataz.com/news/10262/.html
Pour les Lyonnais ( Infos fournis par " Les Casseurs de Pub " ) :
http://www.decroissance.info/Rencontres-conviviales-sur-la
http://forumsocialvillages.free.fr/
Et une info qui nous a fait doucement rigolé ...Et oui, a propos du " Durable " ...Pour nous, le seul élément durable à nos yeux est le present ...Ben oui, nous sommes completement dedans ... Mais certainement pas comme le voit le gouvernement de ce pays qu'est la France ...
http://www.actu-environnement.com/ae/news/1500.php4
A ce propos, nous vous avions déja donné le lien il y a quelques temps, mais nous ne pouvons nous empecher de vous le rappeler histoire de voir comment pour certaines sociétés celles ci conçoivent le " DURABLE "
Et puis, nous avons reçu ça à propos d'un procès d'une action contre la Biométrie :
Dans les cantines scolaires, ce système de biometrie est mis en place pour repérer "les pauvres" qui pourraient déjeuner à l'oeil en utilsaant la carte d'un copain.
Vu le cout d'un repas, en collège ou au lycée de plus en plus d'enfants ne mangent pas à leur faim en France. Sophie.L
Procès du collectif anti-biométrie:
Le procès du Janvier a commencé tard, et s'est terminé à 23h30.
La décision du jury sera donné le 17 février.
Déclaration des inculpé-e-s au tribunal d’Evry
Il nous revient, pour notre défense, d’éclaircir en quelques mots les
raisons
de notre présence dans ce lycée.
Si les outils biométriques ont été introduits dans les écoles, ce ne sont
pas
au fond, les écoliers qui sont visés par ces contrôles. Car même le
proviseur
le plus bureaucrate ne pourrait justifier un instant qu’ils sont nécessaires.
Si la biométrie est entrée à l’école, c’est parce que les écoliers
d’aujourd’hui
seront demain des adultes.
Or l’industrie de pointe, omniprésente dans ce département de l’Essonne,
considère avec l’appui actif de tous les décideurs politiques que les
citoyens doivent être, dès l’enfance, conditionnés au high-tech, afin
qu’ils ne remettent jamais en question les transformations que le
déferlement technologique exerce sur leurs modes de vie. L’arsenal
publicitaire façonné à leur intention, les mutations successives de
l’Ecole, dressent les plus jeunes à accepter ou à désirer la
technicisation croissante des activités humaines, que l’on appelle, contre
toute sensibilité et contre toute raison,
le « progrès. »
La manière dont on impose la biométrie par le conditionnement des plus
jeunes,
entre autres, est d’inspiration tout aussi totalitaire que le contrôle
biométrique lui-même. Ce fleuron de la barbarie électronique signifie
littéralement que l’individu se situe à mi-chemin entre le produit
étiqueté du supermarché et le détenu tatoué du camp. Nous nous demandons
alors quelle part de dignité il reste à celui qui doit transformer une
partie de son corps
en code-barre pour être identifié. Nous nous demandons à quelle marge
d’autonomie morale il peut prétendre une fois que son anatomie est devenue
le support direct du fonctionnement social. Jusqu’où ira-t-on pour
achever de rendre les comportements prévisibles, et les personnes
étrangères à elles-mêmes ?
Tantôt au nom de la menace terroriste, tantôt simplement parce que «
c’est plus pratique comme ça », les bureaucraties petites et grandes,
étatiques ou marchandes, ne cessent de soumettre les espaces de la vie
commune à leurs propres critères : rien ne doit entraver le flux de
l’économie ; rien ne doit obscurcir la transparence du contrôle. Le
langage et le rapport sensible,
trop lents, trop ambigus, sont évacués au profit de la surveillance
électronique.
Nous estimons donc que la biométrie est un pas de plus vers la
déshumanisation de la société : la gestion des populations s’automatise et
devient à elle-même sa propre fin. Conformément aux pires anticipations
cybernétiques, il semble de plus en plus admis que l’existence n’est
qu’un
prétexte à la production et à la circulation de l’information. C’est ce
que rend possible la biométrie, en faisant de la vie elle-même la matière
première de sa version artificielle et programmable.
Nous avons voulu, le 17 novembre, interrompre symboliquement une
expérimentation désastreuse sur des adolescents, dont le déploiement n’est
pas en l’état contrôlable par la législation. Nous ne dénonçons pas les
dérives de l’outil biométrique, mais la biométrie en tant que telle. Nous
considérons qu’accepter les contrôles biométriques signifie livrer la
société
à une logique de ghetto, c’est pourquoi nous engageons le plus grand nombre
à refuser de s’y soumettre.
Les inculpé-e-s.
Pour les Parisiens et leur région :
Contre la censure
Pour la liberté d'expression - Pour la liberté de création
SOIREE SPECTACLE ET DEBAT
Fin août 2005, un député UMP dépose, à titre personnel, une plainte jugée recevable contre Richard Makela, qui rappe sous le nom de Monsieur R, pour " outrage aux bonnes mours ". Monsieur R sera jugé le 6 février 2006. Il risque une grosse amende et plusieurs années de prison.
En septembre, le même député dépose une proposition de loi instaurant un délit d' " atteinte à la dignité de la France ".
En novembre, à l'initiative d'un député UMP, 152 députés et 49 sénateurs interpellent le Garde des Sceaux, et réclament des poursuites contre sept rappeurs ou groupes de rap. Le ministre demande l'ouverture d'une enquête. Sur ces sept rappeurs ou groupes de rappeurs, trois ont cessé d'exister ou d'enregistrer depuis sept à dix ans. La liste aurait été reprise sur un site internet d'un mouvement d'extrême droite.
Il s'agit d'une offensive qui s'organise pour mettre en cause dans notre pays la liberté de création littéraire et artistique, et plus largement toute liberté de pensée et d'expression.
On peut trouver d'illustres précédents dans notre histoire littéraire et politique : souvent, des textes, des fictions ont été condamnés pour leur violence, leur insoumission, leur dissonance, leur aptitude à formuler sans douceur et sans précaution des problèmes fondamentaux. Ces textes qui relançaient les débats étaient aussi, peut-être avant tout, des ateliers de langues où des formes nouvelles s'essayaient. C'est ce champ, cet espace d'invention, cette latitude donnée à la pensée et à la langue, ainsi que le statut même de la fiction et de son autonomie par rapport aux autorités, qui sont à chaque fois, et encore maintenant, en question.
Pour combattre la censure, nous organisons une soirée de
Défense de la liberté de création et d'expression
Le 11 février 2006
À partir de 19 h 30 heures
A la MC 93 Bobigny
1, Bd Lénine - 93000 - Bobigny
Maison de la Culture de la Seine Saint Denis à Bobigny
Métro Pablo Picasso
Pas mal la Mairie de Paris :
" Aujourdh'ui la ville de Paris offre des tentes aux SDF qui refusent de regagner les foyers dépotoirs et se félicite de son geste.
L'association" Médecins du Monde" s'est insurgée à juste titre contre ce "cache-misère" supplémentaire qui sert à donner bonne conscience encore une fois à une société barbare.
Oui monsieur , oui madame, on crêve aussi de froid sous une tente, mais pas sous le nez des passants, ça ferait désordre! "
Sophie L de Rezo.net
Et de la bonne lecture ...En passant ...
http://www.michelcollon.info/articles.php?dateaccess=2006-01-05%2007:14:14&log=attentionm